SALAMANDRE ONYX

 

          

 

       

  Gabrielle Lushypherius adagp vitrail                      

Marsius de Landres et sa forge souterraine haut lieu des sables des zones des calcaires de la belle Lutèce avait pour habitude somme toute il en avait quelques unes en ce jour du **** * * en l'An 1245 en buvant augette d’étain sombre une soupe de lentilles rouges de prédire tout en se désaltérant réchauffer son corps observant le ciel sombre encore et, sans ourse solitaire oushrett et pagarre dame du landrin le scintillant rougeoy en ces cieux de mille feux ha dieu perforant qu'adviendra t il à Maitre Ferrius Marsius si le Bleu de l'abyssale immensité s'en trouvait avalé par des torchets culmerdeuses tenailles_ Krochers_embrasements Emmanuelle Lucy adagp 2019 /2025 opus Elfik Adagp  Sacem Spedidam  

Les grandes étendues dévastées des ures d'avoir Tant de par trop manger en séries de digestions plus ou moins placides _ regrettant déjà d'avoir  encore arracher des mètres carrés d'herbes d'une prairie aux atours de promesse d'une nouvelle steppe progressive               quelques uns d'ent'eux le temps de s'adapter à la nouvelle  architecture végétale se souviennent_ils de leirs cornes doublées Les ures survivants en sont les garants de  l'histoire Gabrielle Lushypherius _ adagp 2015 artiste auteur _ peintre Emmanuelle Lucy

  Le Godo pensif inquièt pour son amie la Petite Dragon Elle pousse des pierres levées  même en marchant ses ailes sont déployées  elle fulmine et ses colères  sont de plus en plus terrifiantes  elle veut sans doute me confier un autre petit phoenix le Demâ s'attend au pire  alerté de dangers des mauvais  fers qui se prennent pour les  detenteurs des bonnes clefs des portes interdites pour eux  les oiseaux du Pacifique et du l'atlantique montent haut dans le ciel L'Etoile Blanche Gabrielle Emmanuelle Lucy adagp Paris 2018                                                

  exposition Normandie 2009 2010 2011 emmanuelle Lucy adagp  art à la craie sculpture photographe  titre : David Sanborn 

bouton d’or la canne à sucre elle tapait du pied pour la mesure elle chantait ajusté  avec un vibrato volé que ferions nous sans nos bonnets de bain tout autant le va et vient et sa triphasée c est ton printemps ! Quel printemps ! elle tapait la betterave blanche la canne s’en remet pas tout le temps il a tapé à la porte mauvais cerceau et haleine il a beau frapper fort les pervers se rév§lent ils s introduisent dans cette poetique qui les pourchasse et cela n'a pas manqué profanant le texte initial les ciblant sans retard pour ce qu ils sont les abjectes d'une enfance  qui se doit au doigt a l oeil et ouverture aux agrèments et sous ordres d'avec le silence de maauvais  plomb l'assommoir et ce siècle ya pa tant de différence des pales extrêmes qui s’interrogent sidérés de tant de désolation et promotion sa rassurance pour le pire aux pistons connivences des racleurs en tous genres et trompette de en loin de loin il n'y a pas que les feuilles mortes à pose à ramasse...